Aujourd’hui le point de rupture est atteint dans les écoles. Année après année, les conditions de travail des enseignant·es et des AESH se sont profondément dégradées, entraînant souffrance et renoncements. Avec les 1709 suppressions de postes d’enseignant·es dans le 1er degré pour la rentrée 2024, le choix est fait de laisser la situation se dégrader encore davantage. La FSU-SNUipp ne peut s’y résigner.